ART
2023
« Dimension et vibration »
2022
« Épuration de la couleur »
Mes recherches m’ont emmené vers une épuration des formes afin de concentrer son regard sur une seule et même chose : la dimension de la couleur. Le regard change au bout de quelques secondes, la dimension de la couleur contenue dans des formes simples et géométrique nous emporte vers un état méditatif.
2021
« La vibration »
Après une recherche de jeux de reflets et de transparences, de nouveaux concepts ont excité ma créativité : cacher pour mieux voir. En superposant deux images distinctes, on en crée une troisième nourrie des deux autres. La vibration de l’étroitesse des lignes provoque un scintillement rappelant les extases mystiques ou bien la persistance rétinienne dans un jeu optique et abstrait.
2020
« La couleur »
L’étude des pouvoirs psychologiques de la couleur m’a influencé pour créer de nouveaux espaces visuels. Douce ou énergique, la couleur stimule les cellules de notre corps. Utilisée en aplat, en matière ou bien en dégradé, la couleur s’équilibre dans des univers sereins. Des sculptures aux transparences colorées s’inviteront, complétant ainsi ces havres de paix.
2019
« L’espace »
Petit à petit, après la matière et la perspective, la représentation du volume s’est imposé. Il ne s’agit pas de travailler sur des surfaces en 3 dimensions, l’exercice consiste à la représentation , voir, à la présentation du volume. Dans une scénographie théâtrale, celui-ci est figuré tel un bijou dans son écrin, un volume dans un espace où le vide et le plein s’harmonisent dans une sorte d’apesanteur en toute zenitude.
2018
« La matière »
Les dix ans passées à travailler en tant que peintre décor à l’Opéra bastille ont nourri mon imaginaire de reliefs, gouttes, patines et autres glacis. La matière est devenu vivante. Comme une seconde peau, elle offre une âme à la surface recouverte, une matérialisation de la pensée. Sensible et douce, elle redonne humanité et profondeur à mes recherches cette année là.
2017
« Pôles magnétiques »
Dans cette série, ce tourbillon cosmique, les astres semblent tourner sur leur orbite à la recherche d’un équilibre, une connexion énergétique. Ensemble, les éléments circulaires de la toile s’activent , s’attirent et se repoussent. Comme des aimants libres et liés, comme l’artiste et son oeuvre, ils ne peuvent se dissocier. A l’horizon l’infini, une fuite en avant à pleine vitesse dans un monde en pleine mutation où il est difficile de trouver sa place.